lundi 18 janvier 2016

Un long WE à Naples


 




























Ah Naples... Ah l'Italie... C'est sincèrement mon pays préféré européen. J'en aime la moindre parcelle et sa gastronomie... Alalah je pourrais aisément y vivre, passer mes étés en Toscane puis mes automnes à Venise pour passer les hivers dans les Pouilles et croiser la route de Naples plus souvent. Avec mes copines de Fac nous essayons de se faire un long WE dans une ville européenne chaque année. Il a donc été décidé que nous partirions à Naples le WE du... 13 novembre. Effectivement le WE ne s'est pas déroulé comme on l'espérait et être loin de Paris a été un véritable enfer pour chacune d'entre nous mais tout de même, Naples nous a bercé, pas consolé mais réchauffé. On a pu boire du Limoncello et des Spritz en terrasse alors que le pire WE parisien de l'année se déroulait. Si je ne me concentre que sur ce que j'ai vu, et pas l'état dans lequel j'étais qui rendait tout moins savoureux, je dois dire que Naples ne m'a pas déçu. Oui je réponds toujours que "non, ce n'était pas un bon WE". Ce qui est vrai. Car nous nous en souviendrons toujours comme du WE du 13 novembre. Les pizzas ont fait office de pansement pour les 5 gourmandes que nous sommes. Je dois vraiment avouer que ce sont les meilleures que je n'ai jamais goûté et pour une misère ! Les rues de Naples sont vivantes, colorées, sales et grouillantes. Pompei, passage oblige, est grandiose et démesuré. Difficile toutefois sans guide de prendre la mesure de cette ville ensevelie. En bon WE napolitain il y a eu des pizzas, des églises, du limoncello, des pasta alla vongole, des paninis, des arancini à la pelle (mon pêché mignon que je cherche souvent à assouvir à Paris sans retrouver le goût de ceux que j'aime tant en Italie, il s'agit tout bêtement de croquette de riz fourré à la mozza ou à tout ce que veulent bien y mettre ces génies d'italiens ! Je me suis lancée une fois dans leur réalisation et je n'ai pas été déçu. Mais je suis si flemmarde que je préfère continuer à chercher un traiteur italien digne de ce met dans la capitale), de la mozzarella, des tiramisu, de la glace... Bref nous ne sommes passées à côté de rien. Pas même de la vue époustouflante que l'on a lorsqu'on monte au château Sant'Elmo ni des fritures napolitaines typiques qu'on trouve dans les nombreuses friggitoria avec leurs fameuses (et délicieuses) frittatina !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Un peu de baume sur une cicatrice qui ne se refermera pas, mais pour aller de l'avant er résister ce sont ce genre de souvenirs qu'il nous faut, alors à faire NAPLES ?
Oui si j'en juge vos photos et votre impression, cel parait plus beau que le clichés que l'on veut bien nous ressortir, alors ok à envisager.
PS ne vous morfondez pas de ne pas avoir été à Paris ce weekend là, il faut et il faudra des gens comme vous pour continuer à ce que Paris reste PARIS !!!